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you are the cure for my pain { juliam

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Juliette Bourgeois
- Juliette Bourgeois -
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> AGE : vingt deux bougies

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MessageSujet: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyDim 3 Juin - 19:08


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{you are the cure for my pain}
crédit/ tumblr ✰ w/@noam dreux

Juliette, elle est en pause déjeuné et elle a deux heures devant elle. Deux heures pour continuer cette thérapie qu'elle a commencé dans les bras de Noam il y a quelque temps maintenant. Cet homme avec la même douleur dans le regard, cette peur d'un avenir encore incertain. La blessure ouverte qui l'empêche de respirer comme il le faudrait. Cette même douleur qui la transperce chaque jour depuis deux ans. Pourtant, quand il est avec elle, Juliette pourrait juré que l'espace d'un instant elle peut respiré, que la douleur est moins forte et surmontable. Si au début tout ça n'avait été qu'un jeu entre deux adultes qui n'avaient plus rien à perdre, aujourd'hui c'était une drogue et une nécessité pour Juliette. Alors ayant prit une clé de l'une des chambre de l'hôtel où elle travaille, Juliette a envoyé un message à Noam pour lui demander de la rejoindre le plus vite possible, avant qu'elle ne disparaisse de la chambre et qu'elle ne le laisse sur sa fin. Elle a un sourire sur ces lèvres la brune, parce qu'elle aime l'adrénaline que lui procure cette relation, elle en a besoin et ça l'amuse. Noam est devenu une source de réconfort, une source d'affection dont elle a besoin. Elle parvient à l'oublier lui, le temps d'un instant, celui qui la brisé tout entière et la marqué à certaine reprise. Elle parvient à oublier qu'elle est une raté, une fille brisé qui ne croit plus en elle. Et pourtant, à de nombreuses reprises elle sait perdue dans les yeux de Noam, dans ce bleu qui l'électrise et elle a eu cette sensation d'être belle. Les cauchemars ne cessent de la hanter, ces souvenirs douloureux ainsi que les beaux qui lui rappelle qu'elle à dû renoncer à l'amour de sa vie. Puis, elle sursaute lorsqu'elle entends que l'on frappe à la porte prise dans le fil de ses pensées elle en a oublié qu'il ne pourrait pas la retrouver. Juliette fini par se lever et elle va alors ouvrir la porte alors que le visage de Noam apparaît légèrement essoufflé ce qui amuse la jeune femme qui ne peut s'empêcher d'affiche un sourire amusée. « Et bien, je vois que tu as bien pris connaissance de mon message, à trois minutes près je m'envolais. » La douce Juliette s'effaça pour laisser le jeune homme entrer avant de déposer la note ne pas déranger sur la poignée, pour ensuite rejoindre Noam.
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Noam Dreux
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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyLun 4 Juin - 21:34

you are the cure for my pain
EXORDIUM.
La rencontre parent-prof, c’est toujours un calvaire. On croit toujours que les profs sont heureux de descendre les élèves. Vous voulez que je vous dise un truc, le pire, ce sont les parents. Toujours un truc à dire. Mon fils, c’est le meilleur. Ou alors. Je comprends qu’il ait des mauvaises notes, à la maison, il bosse. Franchement, c’était pire que l’enfer pour notre jeune prof d’être assis devant des parents. Juste avant le dernier couple, il reçut un sms. Il aurait envie de le lire, mais, il était en même temps tellement pressé de finir avec tout ça. Il commençait même à avoir une envie de bière. Peut-être qu’il pourrait envoyer un sms à ces potes pour une nouvelle soirée haute en couleur. De l’alcool. Des rires. Peut-être des filles. Rien qu’à cette idée, il avait qu’une envie en finir. Malheureusement, pour lui, c’était les pires profs de la soirée. Pendant que la mère parlait, son esprit vagabonda vers sa vie passée. Si les choses avaient été différentes, il n’aurait pas été en boite ou dans un bar. Il aurait rejoint sa femme, chez eux. Peut-être qu’ils auraient un enfant. Le ventre de Léa serait encore arrondi par une nouvelle grossesse. Il ne savait pas pourquoi, il pensait à elle, mais son cœur se serra. Soudain, il n’avait plus envie de sortir. Il n’avait plus envie de s’amuser. Il voulait boire dans son appartement, puis se laisser sombrer dans l’alcool et la douleur jusqu’au lendemain. Il avait totalement perdu le fil de la conversation, mais lorsqu’il serra la main des parents, il se sentit si seul. C’était ça que Léa avait laissé derrière elle, la solitude. Il attrapa son portable, pour voir le message qui le sauverait du précipice. Juliette. Sans trop savoir, penser à la jeune femme le fit se sentir mieux. Peut-être à cause des souvenirs de leur dernière soirée. Il se souvenait de son string lorsqu’elle sortait de sa chambre pour aller à la douche. Beaucoup de souvenirs coquins revenaient mais c’était le bonheur qu’il avait ressenti. Cette impression que le chagrin avait enfin disparu. Merde. Il ne lui restait que peu de temps avant de la rejoindre. Il se mit à courir à travers l’école, puis vers sa moto. Tout au fond de lui, dans un endroit bien au fond de lui, il savait que ce n’était pas une bonne idée. Mais, il n’y pouvait rien. Il avait besoin de ce moment de bonheur. De ce moment, où il était bien et heureux. C’était égoïste. Il était en nage, lorsqu’il arriva devant la chambre de l’hôtel. Il avait tellement hâte. Peut-être qu’il allait dévaliser une banque. Sauter d’une falaise. C’était ce sentiment d’incertitude, de défis qui le rendaient accro à cette fille.  « Et bien, je vois que tu as bien pris connaissance de mon message, à trois minutes près je m'envolais. » dit-elle lorsqu’il rentra dans la chambre. C’était assez excitant. Comme s’il venait retrouver sa maîtresse. C’était une simple chambre. Un lit double. Un petit canapé. Il ne fallait pas être un génie pour savoir comment la soirée allait finir. « Tu voudrais dire que tu serais partie sans goûter à ce corps ? » dit-il en posant un léger baiser sur son front. Ils auraient bien le temps pour un baiser plus sensuel. Il déposa sa veste de moto sur une chaise à l’entrée et alla s’asseoir sur le canapé. La regardant droit dans les yeux. « En même temps, tu sais qu’à chaque fois que tu m’appelles je quitte tout, juste pour toi. » dit-il en tapotant la place libre à côté de lui.
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Juliette Bourgeois
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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyLun 4 Juin - 23:28


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Juliette, elle vit comme une automate, s'obligeant à vivre comme tout humain. Elle suit un fil conducteur, quelque chose de tracé répétant les mêmes gestes chaque jours. Pourtant, elle a se sentiment d'être morte à l'intérieur comme si le temps avait continué sans elle, comme si elle était morte quand elle avait renoncé enfin à cet homme qui l'avait tant blessé. Et pourtant, elle avait la sensation qu'elle ne pourrait pas survivre sans lui, qu'il avait été son oxygène pendant tellement longtemps, qu'aujourd'hui elle était toujours en apnée. Une âme errante parmi la foule qui l'entourait, cette mer de gens qui était loin de deviner la douleur qui l'envahissait constamment. Il l'avait brisé, la jeune femme n'avait plus confiance en elle et ne supportant plus son reflet dans le miroir. Juliette aurait tout donné pour pouvoir changé les choses, recommencer en ne commettant pas les mêmes erreurs, parce que maintenant c'était trop tard pour elle. Elle avait la sensation que la seule personne qui lui permettait encore de respirer c'était Noam. Ce jeune homme avec tout avait commencé autour d'un verre. Maintenant, elle était tout bonnement accroc la brune, à son souffle, à son odeur et à leur folie. Parce qu'ensemble, ils avaient peur de rien, ils étaient capable des pires folies parce qu'ils se sentaient vivant. Ensemble, ils avaient comme l'impression de guérir de se sauver mutuellement de cette vie fade et grisâtre. Cette homme avait prit plus d'importance qu'elle ne l'aurait cru et là pendant sa pause déjeuner, c'est lui qu'elle voulait voir. Elle avait envie d'adrénaline, de quelques choses de totalement barré et elle avait envie de lui. Juliette était irrassasiable sur ce point et elle avait bien remarqué que Noam était aussi partant. Assise sur le lit double, elle regarde son téléphone alors qu'elle n'a aucune réponse du jeune homme. Pour Juliette, il y a peu de chance que Noam arrive et pourtant elle entends frappé à la porte. Quand elle le voit, elle se sent rassuré, elle peut enfin sourire. Juliette, elle a une tonnes de souvenirs qui lui revienne quand il lui fait face, elle pourrait dessiner dans son esprit chaque parcelle de son corps. Le parfum d’agrume qui se dégage de ses lèvres, elle en est presque accroc. C'est sans doute idiot, mais la brune quand elle était près de Noam, elle semblait rayonner à nouveau et heureuse. Alors oui, leur petit rendez-vous c'était important pour la jeune femme et elle en avait énormément besoin. Un sourire coquin glissa sur les lèvres de la jeune femme qui revenait près de son amant. « J'avoue que j'aurais pu juste pour te laisser me désirer et être frustré. » Elle fema les yeux au contact de son baiser sur son front avant de le laisser prendre place sur le canapé. Au parole de Noam, Juliette se mordit la lèvre inférieur, c'était plus fort qu'elle, elle adorait savoir que Noam était prêt à tout quitter juste pour la rejoindre sans savoir ce qui allait se passer. En même la réciproque était vrai aussi, Juliette répondait toujours présente quand Noam avait besoin d'elle. S'approchant à sa demande, elle s'installa sur le canapé très près de lui et glissa une main dans les cheveux brun de Noam. « J'avais envie de te voire, envie de toi aussi. Puis j'avais un fantasme fou à réalisé je me suis dis que tu serais partant. » La petite brune humecta ses lèvres tout en regardant le jeune homme dans les yeux.
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Noam Dreux
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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyMar 5 Juin - 18:56

you are the cure for my pain
EXORDIUM.
Il était à peine rentré dans cette chambre, qu’il sentit son mal-être diminué. Comme si tout la solitude qu’il avait ressenti dans cette salle de classe avait disparu. Cette relation était étrange, et non conventionnelle. Il avait décidé de ne pas se poser trop de questions ! De se laisser aller. De goûter au plaisir, de ne plus ressentir la douleur, le manque, la peine. Dans les bras de la jolie brune, il était lui-même. Il n’était pas jugé parce qu’il n’honorait pas la mémoire de sa défunte fiancée. Qu’il avait plus de conquêtes qu’il n’y avait habitant dans son quartier. Qu’il était macho, protecteur, presque dominateur. Qu’il draguait pour oublier que personne ne l’attendrait plus à la maison. Pourtant, avec Juliette, il était juste Noam. Un gars qui se reconstruit. Peut-être pas de la bonne façon. Peut-être qu’à force de se mettre en danger, ils finiraient en prison ou pire à l’hôpital, mais, il était prêt à tout pour se sentir vivant. Il ne pensait pas à la fin. Au moment, où Juliette et lui devraient se séparer pour continuer sa vie. Pourquoi, il n’y pensait pas ? Parce qu’au fond, il savait qu’il n’était pas guéri et que la douleur referait surface comme un tsunami. Non, il ne pouvait pas penser à ça. « J'avoue que j'aurais pu juste pour te laisser me désirer et être frustré. Dit-elle lorsqu’il alla s’installer sur le canapé de la chambre. Ce qu’il aimait plus que le fait de se sentir enfin en paix, c’est son franc parlait. Ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. C’était peut-être pour cela que c’était électrique entre eux. Comme là, il était sûr qu’elle aurait été capable de partir, juste pour le faire mariner, puis de venir sonner chez lui avec juste un manteau. « J’aurais été obligé de me mettre à genoux pour te supplier de satisfaire mon désir. Avoue que ça t’aurait plu ! » dit-il en lui disant de venir s’installer à côté de lui. C’était peut-être dans les règles de discuter avant de se lancer d’enlever ses vêtements comme des bêtes sauvages. Mais, il y avait bien longtemps qu’il ne suivait plus les règles. Surtout avec la jolie et sexy Juliette. Il la regarda venir vers lui. Elle avait retiré ses chaussures. Et après, elle aurait été prête à partir. Elle était aussi excitée que lui. Elle vint se coller à lui et lui passa la main dans les cheveux. C’était l’un de ses atouts. Il y avait bien longtemps, qu’il avait renoncé à les coiffer correctement. Et il aimait sentir les doigts d’une femme dans ses cheveux. Peut-être même plus quand c’était elle. Est-ce que ce serait mal honnête pour la jeune femme, mais parfois elle lui rappelait Léa. Dans certains de ses gestes. « J'avais envie de te voir, envie de toi aussi. Puis j'avais un fantasme fou à réalisé je me suis dis que tu serais partant. » Il aurait mieux fait de ne pas la regarder, car elle se mordit la lèvre. C’était le genre de truc qui lui faisait perdre tout ses moyens. Il sentit le désir monter un peu plus en lui, encore plus que lorsqu’il était arrivé. Il allait finir par exploser si elle continuait. Il savait que la jeune femme jouait avec lui. Noam n’avait jamais caché que ce simple petit geste l’excitait.Pourtant, il n’allait pas se laisser faire sans rien dire. Il attrapa son pied et se mit à le masser. Il n’était pas ce genre de mec qui n’aimait pas faire le ménage, ou faire des massages des pieds. Sa sœur en profitait souvent, pour nettoyer ses toilettes. Il massa d’abord doucement les talons puis remonta en appuyant sur des zones qu’il savait sensible. « Alors comme ça tu avais envie de moi ? Tu aurais pu me rejoindre à l’école, tu aurais réalisé mon fantasme » Ses mains continuaient de masser les pieds de la jeune femme. « Mais, comme j’ai failli être en retard, je vais réaliser ton fantasme. » Il attrapa son autre pied pour lui procurer les mêmes soins. Pas jaloux. Il aimait bien voir la jeune femme se détendre. Pour être honnête, il avait beaucoup de qualité mais surtout, il avait un défaut. Il était assez macho et même parfois dominateur. Il aimait avoir le contrôle de la situation. Comme là. Elle se détendait pendant que lui, son désir ne faisait qu’augmenter. « Je t’en supplie dis moi que ton fantasme ne consiste pas à te partager avec un autre homme. » Il déposa un baiser sur son pied. « Je refuse de te partager. »
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Juliette Bourgeois
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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyMer 6 Juin - 0:58


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La brune, elle se sentait juste vivante dans les bras de Noam, parce qu'avec lui, elle voulait vivre dans le danger. L'adrénaline c'était leur carburant et elle était prête à tout pour que ça dure. Il était comme une nécessité pour elle, nul ne savait jusqu'où tout ça irait, si comme dans un film qu'elle avait vu ils finiraient par plonger tout les deux dans du ciment et resteraient à jamais l'un avec l'autre. Juliette, elle ne pouvait pas réfléchir à leur relation parce qu'elle craignait de réaliser combien c'était important pour elle et là elle se mettrait sans doute à tout faire foiré. Parce que Jordan il avait fait d'elle une merde, une fille incapable de pensé par elle même, pensant détruire tout ce qu'elle touchait. Il la hantait constamment comme les coups qu'il lui avait infligé chaque fois qu'elle avait désobéit. Et pourtant dans les yeux de Noam, la jeune femme elle se sentait belle et désirable. Comme si l'espace de quelques heures où elle était à ses côtés, elle existait à nouveau. Là face à lui, elle jubilait de l'entendre dire de telle parole, d'être une telle attraction pour lui. Elle aimait tellement ça et elle faisait en sorte que ça dure, toujours. Une fin n'était pas envisageable pour leur bien à tout les deux. La jeune femme se glissa alors la langue sur les lèvres excitée par l'image qu'elle avait de lui en imaginant la scène. « Evidemment, j'en suis déjà toute excité. Sans doute que je t'aurais demandé de me donner un orgasme en compensation. » Entre eux, c'était très fort, très intense. Ils savaient tout les deux l'effet qu'il produisait chez l'autre et en jouait en permanence. Juliette se mordait la lèvre en songeant à tout ce qu'elle aurait pu lui demandé de faire en l'obligeant à être dominé. Lui qui aimait tellement avoir le dessus sur elle, savoir qu'il était le seul et unique à avoir un tel traitement de faveur. Parce qu'en effet plus ils passaient de temps tout les deux et plus leurs liens se resserraient malgré eux. Juliette tentait de ne pas pensé à tout ce qu'il aurait pu faire à une autre qu'elle. Refusant d'accepter que Noam pourrait un jour trouver une autre pour lui permettre d'aller de l'avant. Pour lui donner plus qu'elle ne pouvait le faire. Une fois de plus, la belle manquait cruellement de confiance en elle. Doutant encore et toujours de ces capacités à faire le bonheur de quelqu'un d'autre. Juliette jouait avec les mèches de cheveux de Noam, elle avait ce besoin d'avoir un contact physique avec lui et de savourer son contact. Un petit sourire restait collé à ces lèvres tandis qu'elle laissait Noam prendre son pied pour le masser. Juliette ferma les yeux quelques instants pour savourer ce qu'il lui faisait, parce que ça lui faisait du bien, dans son travail la brune était constamment debout à la réception ou bien à gérer les soirées prévus dans l'hôtel. Ce massage était donc le bienvenue tandis qu'elle ouvrait les yeux pour le regarder. Elle ne le quittait pas des yeux, Noam était tellement beau. Juliette se demandait parfois si Noam n'avait pas fait erreur en choisissant de ce lancer dans cette aventure avec elle. « Disons que j'avais prévue pour la suite qu'on rentre dans ton école quand elle sera fermé et que tu me prennes sauvagement sur ton bureau.. » Effectivement, la douce Juliette n'était pas ce qu'on pensait d'elle. Elle venait réellement de proposer de rentrer dans l'école par effraction pour qu'il lui fasse l'amour. C'était du grand Juliette et cette pensée l'excitait au plus au point. D'ailleurs deux de ces fantasmes étaient au choix pour la suite des événements. La brune le laisse prendre son autre pied alors que son envie de l'avoir contre elle était de plus en plus forte. Elle avait irrémédiablement envie de l'embrasser, mais elle prenait sur elle pour ne pas se laisser aller et garder le contrôle de la situation. Puis, elle rougit malgré elle à ses paroles qui lui chatouillèrent le ventre. « Non, tu n'as rien à craindre, pour tout te dire j'ai pas envie de te partager non plus. » Elle se pinça les lèvres avant de se redresser pour faire face au jeune homme qui la regardait. Elle déposa ses lèvres au coin des siennes, puis sur sa mâchoire et glissa le bout de sa langue de son cou vers son oreille où elle fini par murmurer. « J'ai volé les clés de cette chambre et j'ignore quand son propriétaire va débarquer. Alors Noam, as tu peur oui ou non de me faire jouir dans le lit d'un inconnu ? » La belle mordilla le lobe de son oreille puis elle finit par lui faire face plantant son regard noisette dans le sien.
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Noam Dreux
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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyVen 15 Juin - 19:59

you are the cure for my pain
EXORDIUM.
Est-ce qu’il serait le pire des salauds, s’il disait qu’il était déjà excité ? Non mais c’est vrai, ils n’avaient encore rien fait. Elle lui avait juste ouvert dans son uniforme, avec sa petite jupe, peut-être pas assez courte pour lui. Pourtant, il avait fallu qu’elle vienne se coller à côté de lui, qu’elle se laisse faire, qu’elle rentre dans son jeu, qu’elle parle aussi vulgairement que lui, et il était déjà sur le point d’exploser. « Évidemment, j'en suis déjà toute excité. Sans doute que je t'aurais demandé de me donner un orgasme en compensation. » Qu’est-ce qu’il disait ? Ce jeu entre eux était très dangereux. Mais c’était comme le danger, on doit l’éviter et pourtant, on fonce dedans. Noam ? Il aurait foncé encore et encore. Comme ce soir. Elle envoyait un message et il courrait. Pour ressentir, ce frisson. Pour être de nouveau vivant. Elle était là, à côté de lui, et il n’avait qu’une envie lui sauter dessus. Il y avait bien longtemps, qu’il avait compris qu’il était légèrement dominateur, macho et protecteur. Il aimait avoir le contrôle. Pourtant, jusqu’à présent, il s’était toujours retenu. Avec Léa, il avait tellement peur de la perdre, qu’il était devenu un canard. Avec les autres femmes, il avait tellement de peur de passer pour un enfoiré de première qui se servait des femmes, mais qui en plus avait envie d’être le mâle alpha, qu’il essayait de refouler son besoin de contrôle. Pourtant, avec Juliette, c’était presque une évidence. Dès leur première fois, il avait pris les choses en mains. Elle aurait pu refuser. L’envoyer bouler. Surtout, qu’il avait vu la peur dans ses yeux. Mais, elle n’avait rien dit. Cela l’excitait autant que lui. C’était le danger. Malgré, qu’ils ne parlaient pas de leurs passées, ni de leurs peurs, il savait. Enfin, il se doutait. Il avait vu tellement de fois la peur dans ses yeux, qu’il ne fallait pas être un génie pour savoir que sa jolie brune était une femme battue. Voilà, peut-être pourquoi avec elle, son besoin de domination, de contrôle était encore plus intense. Elle le rendait vivant, il voulait la protéger. « Disons que j'avais prévue pour la suite qu'on rentre dans ton école quand elle sera fermé et que tu me prennes sauvagement sur ton bureau.. » Il continuait de masser ses pieds. Comme, il le disait, il voulait prendre soin d’elle. Il était tellement bien dans ses bras. Il voulait qu’elle soit aussi bien. « Ce fantasme me plaît beaucoup, mais tu sais, j’ai les clés pour rentrer. Mais t’imaginer nue sur mon bureau, te faire jouir avec ma bouche… je crois que je verrais plus jamais mon bureau de la même façon. » Rien que d’imaginer la scène, il était encore plus excité. Son corps nu allongé sur son bureau, ou plus excitant sur le petit bureau de ses élèves, réclamant ses caresses. Lui en elle. Bordel, il fallait qu’il se clame. Pourtant, il n’avait ce fantasme qu’avec elle. Peut-être parce qu’il n’y avait qu’avec elle, qu’il se sentait entier. Avec elle, il redevenait ce gamin qui faisait des conneries, qui ne pensait à aucune conséquence de ses actes. Un gars fou, libre et rebelle, qui avait disparu avec Léa. « Non, tu n'as rien à craindre, pour tout te dire, je n'ai pas envie de te partager non plus. » Entendre ses paroles de la bouche de Juliette, le réconfortait. Ce n’était pas qu’il doutait qu’elle avait d’autres personnes. Ils n’avaient pas une relation exclusive. Non ce qui lui faisait peur, c’est qu’il n’était pas le seul qui lui fasse ressentir ça. Qu’est-ce que je disais ? Avec elle, il redevenait un gosse. Soudain, elle s’approcha et vint déposer un baiser au coin de ses lèvres. Elle jouait avec lui. Elle aurait pu lier ses lèvres aux siennes, mais elle préféra descendre vers sa mâchoire puis vers son oreille. Il aimait avoir le contrôle mais ça c’était l’extase absolue. « J'ai volé les clés de cette chambre et j'ignore quand son propriétaire va débarquer. Alors Noam, as tu peur oui ou non de me faire jouir dans le lit d'un inconnu ? » Oh bordel, être surpris. Elle pourrait se faire renvoyer. Et pourtant. D’un geste, il attrapa ses lèvres. Pas un baiser doux. Non, c’était sensuel. Sa langue était déjà partie à la rencontre de celle de la jeune femme. Sa main s’était glissée sous la jupe de la jeune femme. C’était excitant de savoir qu’ils pourraient être découverts, mais surtout, il fallait quand même se presser. Il était pressé. Il était excitait. Il quitta sa bouche pour venir déposer un baiser dans son cou, pendant que sa main était presque arrivée à la culotte de la jeune femme. Il allait tirer dessus lorsqu’il entendit une clé dans la porte. Putain, pas déjà. « Bordel, je pensais qu’on avait plus que dix secondes. » dit-il en lui attrapant la main et en se dirigeant vers la salle de bains de la chambre. Ils réussirent par je ne sais quel miracle à atteindre la salle de bains et à fermer la porte, sans se faire voir. Ils avaient posé leur dos contre la porte. Essayant d’entendre, ce qu’il se passait de l’autre côté. « Tu es sûr que ta femme ne va pas remonter. » dit une voix de femme. « T’inquiète pas, je vais avoir le temps de te faire grimper plusieurs fois aux rideaux, mais dépêche toi de te déshabiller pour que je m’enfonce en toi. » dit une autre voix. Alors là, c’était génial. Un couple d'adultère se faisait une bonne partie de jambes en l’air de l’autre côté pendant, que Juliette et lui étaient bloqués dans la salle de bains. Ça c’était excitant. Il allait falloir qu’ils soient silencieux, car les murs avaient l’air d’être du carton. Doucement, il vint se poser contre elle. Lui sur elle. Elle contre le mur. Il la souleva pour qu’elle vienne placer ses jambes de sa propre taille. Il mordilla le lobe de son oreille. « J’aime quand tu cries mon nom quand je te fais jouir, mais va falloir que tu sois très très silencieuse. » Ses mains avaient déjà commencé à déboutonner le chemisier de la jeune femme. Il s’arrêta au milieu pour venir caresser la petite pointe de ses seins. Il sentit déjà gémir, alors il la fit taire en liant sa langue à la sienne. « Si tu savais l’effet que tu me fais ! » murmura pendant que de l’autre côté la femme pousser des cris. Au moins, Juliette ne faisait pas semblant. Il continua de jouer avec sa langue pendant que ses mains finissaient de la débarrasser de son haut.
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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptySam 16 Juin - 16:09


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Juliette se sentait vibré, elle aimait savoir que Noam n'était jamais loin d'elle parce qu'il lui donnait du plaisir, parce qu'il la faisait rire aussi. Il faisait d'elle une femme vivante, elle qui s'était longtemps senti comme morte à l'intérieur semblait trouvé un second souffle. Leurs regards ancré l'un dans l'autre, tout était intense, troublant même tellement de chose dont dîtes. Pourtant, ces regards, ces silences c'était leurs façon de communiqué, leur façon de se dire des choses qu'ils n'auraient pas pu faire, pas maintenant. Pourtant, si Juliette était une femme battue, qui avait été soumise à de lourd sévisse, elle ne pouvait s'empêcher de recherche une certaine domination. Elle adorait que Noam la rende vivante, l'oblige à se laisser faire sous ses coups de reins, à subir le plaisir qu'il voulait lui infliger. C'est sans doute ce qu'elle avait recherché depuis le début Juliette dans son envie de liberté et son besoin d'aventure. Une domination comme lui le faisait, dans le sexe dans les actes et les mots. La brune, elle était comme une drogué, Noam c'était sa force et sa faiblesse. Sans lui, elle redevenait cette fille fragile, perdu et dévasté par ces trois années où Jordan l'avait complètement retourner. La jeune femme se blottissait alors contre lui, elle avait ce besoin primaire d'être contre lui et avec lui. Elle se passa la main dans les cheveux en se mordant la lèvre inférieur. La brune aurait aimé y être à cette école prendre du plaisir à jouir son prénom. Elle ne savait pas trop pourquoi c'était lui et personne d'autre, lui qui parvenait à penser ces blessures. Lui qu'elle rêvait d'embrasser constamment. Noam s'était ancré en elle et elle ne parvenait plus à faire marche arrière. « Alors c'est ce que nous allons faire ce soir. Je veux que tu me prennes dans ta salle de classe et même celui de ta patronne Noam. » Le sexe c'était leur moyen de ne faire plus qu'un, comme se raccroché à un autre être dans ce monde. Ils étaient dépendant l'un de l'autre à présent, comme si tout les conduisait l'un vers l'autre. Cette manière qu'avait Juliette de déboulé chaque fois qu'il avait besoin d'eux. Ce besoin de rester unique aux yeux de l'autre, ouais ils étaient bien tout les deux et ils étaient près à ce que rien ne change. La jeune femme glissa sa main dans la nuque de Noam et elle jouait avec ces nerfs prenant garde de ne pas embrasser ces lèvres quand elle lui annonçait qu'ils étaient dans la chambre d'un inconnu. La réaction du jeune homme ne mit pas longtemps à se faire sentir. Serrant la nuque de Noam, elle prolongea son baiser, alors que sa langue dansait sensuellement avec la sienne. Elle colla corps au sien, venant au dessus lui pour le caresser laissant son bas ventre faire pression contre le sien. Quand le bruit de la porte se fit entendre, perplexe elle se laissa entraîné par le jeune homme dans la salle de bain alors qu'elle aurait carrément pu se faire virer, mais elle en riait. A l'écoute de ce qui se passait à côté, Juliette regardait alors Noam le regard brûlant. Elle en voulait plus et elle ne pouvait pas rester sur sa fin. C'est alors que Noam plaqua son corps contre le sien et la souleva brusquement, Juliette s'humecta les lèvres avant de sourire. « Je crois que j'en suis capable, maintenant fait moi jouir bébé. » Elle avait dit ses mots alors qu'il la déshabillait, la jeune femme sentit ses doigts contre ses tétons durcissait sous ses doigts. Elle se cambra alors qu'elle pouvait sentir l'érection de Noam à cet instant précis. Elle accueillit sa langue dans un baiser langoureux et charnel, tandis qu'elle venait déjà déboutonner son pantalon pour venir glisser sa main dans son boxer comme pour s'assurer qu'il disait vrai. « C'est ce que je sens effectivement. T'es à moi Noam je laisserais personne prendre ma place tu m'entends ? » Elle le regarda fixement, cette intensité dans le regard, comme un message qu'il serait le seul à déchiffrer à présent. Tandis qu'elle faisait des vas et viens de sa main sur l'objet de son désire.
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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptySam 16 Juin - 18:32

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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyDim 17 Juin - 15:58


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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyLun 18 Juin - 19:35

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MessageSujet: Re: you are the cure for my pain { juliam you are the cure for my pain { juliam EmptyMar 19 Juin - 15:19


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