song for a dream (fb - ninaad)

tu gémissais un peu de bien-être en te réveillant, passant tes mains sur ton visage en soupirant, éblouie par la lumière du soleil. tu avais passé une très bonne nuit. tu ouvrais doucement les yeux en soupirant et tu déplaçais les cheveux que tu avais devant ton visage. tes yeux se posaient sur saad qui dormait encore à tes côtés et tu souriais naturellement, sans pouvoir contrôler ton sourire. c’était la première fois que tu te réveillais à ses côtés, et c’était juste une sensation très agréable. tu prenais le temps, cinq, dix, quinze minutes peut-être, le regardant, appréciant cet instant. tu te relevais un peu, le drap glissant sur ton corps nu, et tu venais te caler contre lui pour embrasser son dos plusieurs fois en soupirant. tu laissais tes lèvres glisser sur sa peau mate lentement en fermant les yeux. saad, ça faisait peu de temps que vous étiez ensemble, officiellement. mais t’étais tombée amoureuse de lui très rapidement. et parfois, ça te faisait peur. et ce matin, tu avais l’impression que c’était le plus beau sentiment au monde. tu l’embrassais pendant de longs instants, parcourant ton son dos. tu passais tes lèvres sur ses tatouages, t’attardant sur la feuille qu’il arborait sur la nuque. c’était des oeuvres d’art, et chacun d’eux te touchaient, même si tu n’en connaissais pas la signification. saad finissait par bouger un peu, et tu souriais contre sa peau, ne cessant de l’embrasser lentement. bonjour. tu murmurais finalement en remontant près de son oreille, avant de t’allonger contre lui, pour le regarder. tu caressais tendrement ses cheveux en lui souriant, le laissant se réveiller en douceur. et tu revenais embrasser son dos, parce que tu adorais faire ça, et que tu ne cessais de sourire contre sa peau tellement tu te sentais bien. bien dormi ? tu finissais par demander doucement.

c'est une douce sensation parcourant ta peau qui te tire du sommeil, ce matin. un sourire se dessine doucement sur tes lèvres et tu gardes les yeux fermés, savourant simplement les lèvres de nina glissant contre ton dos, redessinant les tatouages qui peuvent s'y trouver. tu te mords l'intérieur de la joue et tu bouges un peu, te réveillant doucement. bonjour. tu tournes un peu la tête vers la jeune femme quand tu la sens s'allonger contre toi, et tu ouvres doucement les yeux, peinant un peu à t'habituer à la luminosité présente dans la pièce. salut. tu murmures d'une voix encore rauque de sommeil. tu viens caresser doucement sa joue et tu fermes de nouveau les yeux quand elle revient embrasser doucement ta peau. bien dormi ? tu bouges une nouvelle fois pour t'étirer longuement, tendant un bras puis l'autre au-dessus de ta tête. tu sens certains de tes os craquer et tu soupires un peu. j'ai très bien dormi. tu souffles en venant te retourner pour te retrouver sur le dos, les bras croisés derrière ta nuque. tu as déjà prévenu nina que tu avais des tendances insomniaques, et que ça t'arrivais bien trop souvent de te lever la nuit. vraiment bien. et longtemps. tu ajoutes avec un léger sourire, tandis que tu glisses tes doigts contre ton visage, frottant doucement ton front. tu ne t'attardes pas sur la barbe de trois jours qui commence à prendre place sur tes joues. et toi ? tu demandes après quelques instants de silence.

saad te souriais et il ne tardait pas à se tourner sur le dos, les bras croisés sous sa tête. tu l’observais et tu souriais quand il t’expliquait avoir très bien dormi, et longtemps en plus de ça. tu connaissais ses tendances insomniaques, et tu étais contente qu’il ait pu dormir plus longtemps que d’habitude. il frottait son front et tu venais contre lui. tu acquiesçais quand il te retournait la question. très bien aussi. tu lui souriais et tu venais l’embrasser doucement plusieurs fois, avant de poser ta tête contre son épaule. je propose qu’on reste au lit toute la journée. tu riais un peu en le serrant contre toi, caressant son torse, passant tes doigts sur ses tatouages que tu redessinais. ton corps est une oeuvre d’art. tu soufflais doucement en regardant tous ses tatouages, sur son torse, ses bras. tu trouvais ça magnifique, et d’une expression folle. comme lui, tu avais toujours été très sensible à l’art, mais toi tu ne dessinais pas, tu faisais parler ton côté artistique autrement. par la photo, notamment, dont tu avais fait ton métier. tu faisais des photos de mariage, de famille, mais tu aimais aussi prendre ton appareil photo et partir te balader pour capturer des instants. tu lui souriais en venant embrasser sa joue doucement et tu mordillais ses lèvres doucement en souriant contre ses lèvres. tu glissais ta main sur son cou et sa nuque et tu l’embrassais longuement, ta langue venant jouer avec la sienne doucement, alors que tu le serrais contre toi avant de te détacher pour reprendre ton souffle. tu devrais arrêter d’être irrésistible par contre. tu faisais une petite moue en te pinçant les lèvres et tu finissais par rire en le serrant à nouveau contre toi, enfouissant ta tête dans son cou en soupirant, respirant son parfum en caressant distraitement ses côtes.

tu frottes doucement ton visage contre ta main et tu étouffes un bâillement contre ta peau. tu accumules tellement de fatigue ces derniers temps, qu'une simple nuit ne suffit pas à te remettre totalement sur pied. mais tu te sens déjà agréablement bien. très bien aussi. tu souris et tu glisses une main dans le dos de nina pour la garder contre toi, répondant tendrement à ses baisers. tu fermes les yeux un instant avant de caresser sa peau. je propose qu'on reste au lit toute la journée. j'approuve cette proposition. tu pouffes de rire en la laissant redessiner tes tatouages du bout des doigts. tu te mords l'intérieur de la joue et tu laisses tes doigts glisser contre sa peau, presque distraitement. ton corps est une œuvre d'art. tu hoches la tête. c'est le but, de toute manière. l'encre qui se fait une place dans ta peau, qui s'incruste dans ton épiderme. tu observes ton bras un instant et tu te mords l'intérieur de la joue. tu fermes les yeux un instant. et j'ai encore plein de projets de tatouages qui sont plus ou moins en cours. tu souffles en souriant, rouvrant les yeux pour observer nina avec tendresse. tu glisses tes doigts dans ses cheveux quand elle vient t'embrasser longuement et tu étouffes un petit gémissement à cette sensation. tu devrais arrêter d'être irrésistible par contre. tu pouffes de rire à ses mots et tu secoues la tête de gauche à droite, te mordant l'intérieur de la joue. arrête de me regarder alors. tu souffles en la serrant contre toi, tes bras entourant ses épaules et sa taille. tu viens embrasser son front et tu glisses une jambe entre les siennes pour la presser contre toi.

tu acquiesçais doucement quand saad t’expliquait qu’il avait encore d’autres projets de tatouages et tu lui souriais tendrement avant de venir l’embrasser longuement, étouffant un gémissement contre ses lèvres. tu mordillais ses lèvres et tu pouffais de rire à ses mots, alors qu’il te serrait contre lui longuement. il glissait une jambe entre les tiennes en embrassant ton front et tu fermais les yeux pour apprécier. impossible. tu riais doucement en l’embrassant à nouveau, caressant sa jambe de la tienne doucement en prolongeant encore une fois votre baiser. il était bien trop beau pour que arrêtes de le regarder. tu gémissais doucement contre ses lèvres et tu grimpais sur lui en riant et en lui volant plusieurs baisers, avant de prendre ton appareil photo sur la table de chevet. tu capturais aussitôt son sourire et tu le photographiais plusieurs fois, en ne cessant de sourire. mm tu as de la chance je travaille gratuitement aujourd’hui. tu le taquinais, t’installant un peu plus confortablement sur lui. t’étais toujours aussi nue, mais tu t’en foutais. personne ne risquait de venir vous emmerder ici, et tu te sentais simplement bien avec lui. tu n’avais jamais été hyper à l’aise avec le fait de te mettre nue devant quelqu’un, mais tu ne te posais même pas la question avec le jeune homme. tu le photographiais plusieurs fois et tu regardais le résultat silencieusement. t’es plutôt photogénique dis moi. tu riais en le regardant, coinçant ses hanches de tes cuisses et tu déposais ton appareil sur le lit pour revenir l’embrasser longuement en glissant tes mains sur son cou, remontant tes cheveux d’un geste alors qu’ils lui tombaient sur le visage. tu l’embrassais de longues secondes et tu soupirais finalement contre ses lèvres en souriant, tirant doucement sur ses lèvres de tes dents.

tu n'en as pas terminé avec les tatouages. loin de là. ta mère se désespère parfois de trouver un morceau de peau encore vierge d'encre, mais c'est vrai que ça devient de plus en plus rare. même tes jambes sont tatouées. ton torse, tes bras, ton dos. tu te pinces brièvement les lèvres. de l'art, purement et simplement de l'art. impossible. tu pouffes de rire. te plains pas alors. tu murmures contre ses lèvres, entre deux baisers embrasés. tu fermes les yeux et tu bouges doucement ta jambe contre la sienne, retenant un petit soupir quand elle se redresse pour attraper son appareil photo. tu ris et elle a le temps d'immortaliser ce moment. tu la laisses grimper sur tes hanches et tu caresses les siennes du bout des doigts. mm tu as de la chance, je travaille gratuitement aujourd'hui. tu secoues la tête de gauche à droite, un sourire sur les lèvres, de ceux qui ne s'effacent pas si facilement. sourire idiot. t'es juste un idiot heureux. déjà, c'est toi qui devrais me payer pour photographier mon corps. les droits à l'image et tout ça. tu souffles pour la taquiner un peu, ta main venant effleurer sa poitrine, caressant lentement sa peau. tu laisses tes doigts glisser contre son corps tandis qu'elle observe les photos qu'elle vient de prendre. t'es plutôt photogénique dis moi. tu arques un sourcil. tu trouves ? tu demandes en haussant un peu les épaules. tu n'as jamais trouvé être particulièrement photogénique. tu secoues faiblement la tête et te contentes de répondre longuement au baiser de la jeune femme, venant la serrer contre toi pour presser sa poitrine à ton torse. tu étouffes un léger grognement contre ses lèvres et tes mains caressent son dos. mm, tu sais très bien commencer ça va terminer si on continue comme ça. tu souffles contre ses lèvres en caressant ses hanches.

tu riais doucement quand saad expliquait que c’était toi qui devrait le payer plutôt que l’inverse et tu secouais un peu la tête alors qu’il venait effleurer doucement ta poitrine. je paye qu’en nature, désolée. tu le taquinais à ton tour et tu riais en regardant les photos que tu venais de prendre, appréciant ses caresses légères sur ton corps. tu acquiesçais à sa question. mm oui je trouve. je vais faire de toi mon modèle officiel. tu riais à nouveau et tu venais l’embrasser longuement en fermant les yeux, le serrant tout contre toi. le jeune homme entourait ton dos de ses bras pour te serrer contre lui et tu l’embrassais sans arrêt avant qu’il ne se détache pour prononcer quelques mots. tu riais doucement contre ses lèvres alors qu’il caressait tes hanches tendrement. mm c’est vrai. tu haussais les épaules et tu revenais l’embrasser un peu plus fort encore, glissant ta main sur sa nuque pour approfondir votre échange. tu gémissais doucement contre ses lèvres et tu te détachais au bout d’un long moment en le regardant dans les yeux. tu soufflais contre ses lèvres et tu fermais les yeux en l’embrassant du bout des lèvres. je t’aime. tu murmurais alors doucement, en plongeant ton regard dans le sien. c’était la première fois que tu le lui disais. c’était surement la première fois que tu le ressentais aussi fort. peut-être que c’était un peu tôt, t’en savais rien. mais tu le ressentais et tu voulais le lui faire savoir. tu lui souriais et tu l’embrassais à nouveau en le serrant contre toi, resserrant doucement son emprise sur ses hanches. tu fermais les yeux et tu venais jouer avec sa langue doucement, reprenant ton souffle en venant poser doucement ton front contre le sien.

je paye qu’en nature, désolée. tu pouffes de rires aux mots de la jeune femme et tu lèves les yeux au ciel, ne la délogeant pourtant pas de tes hanches. tu t'enfonces un peu plus dans le matelas et te mords l'intérieur de la joue. tes doigts glissent dans tes cheveux et tu étouffes un nouveau bâillement. mm oui je trouve. je vais faire de toi mon modèle officiel. tu lèves les yeux au ciel et tu secoues la tête de gauche à droite en riant un peu, avant de répondre à son baiser longuement, la serrant contre toi. tu te mords l'intérieur de la joue et tu l'embrasses tendrement. elle bouge doucement contre toi et tu pouffes de rire avant de souffler quelques mots. mm c'est vrai. tu hoches la tête à ses mots et te pinces brièvement les lèvres, tandis qu'elle revient t'embrasser longuement. tu te cambres doucement contre son corps et tu la serres contre toi, vos deux corps l'un contre l'autre. tu fermes les yeux un instant et tu profites simplement de tout ça. tu viens finalement soutenir son regard, un sourire sur les lèvres. je t'aime. tu observes nina tendrement et tu viens caresses sa joue avec douceur, avant de répondre à son baiser. tu fermes les yeux et ta seconde main glisse dans son dos pour la garder contre toi. moi aussi, je t'aime. tu murmures doucement, contre ses lèvres, revenant l'embrasser délicatement. tu ne pensais pas un jour, le souffler aussi facilement et pourtant. tout semble tellement simple avec nina. tu la renverses sur le lit et tu viens te coller contre elle, caressant doucement sa poitrine et son ventre, la serrant contre toi.

tu prononçais ces mots avec une facilité déconcertante et tu souriais doucement quand saad caressait ta joue en répondant à ton je t’aime. tu te perdais dans ses yeux alors qu’il murmurait contre tes lèvres et tu caressais doucement sa nuque en répondant à son baiser. tu riais tendrement quand il te renversait sur le lit et qu’il se collait tout contre toi, caressant ta poitrine et ton ventre. tu soupirais contre ses lèvres en embrassant ses lèvres lentement, plusieurs fois. tu le regardais avec tendresse en caressant sa nuque sans arrêt et tu revenais l’embrasser longuement en glissant ta main sur son dos et ses côtes. tu le serrais plus fort contre toi en enfouissant finalement ta tête dans son cou, l’embrassant plusieurs fois, y laissant glisser ta langue sensuellement. tu ramenais ta cuisse contre sa hanche en relevant ta jambe et tu le serrais un peu plus fort encore. tu te détachais de sa peau en souriant et tu enfonçais ta tête dans le coussin en l’observant avec amour. je t’aime tellement. tu répétais doucement en laissant glisser tes doigts distraitement sur son dos. tu venais embrasser son menton, couvert de la barbe de trois jours que tu aimais tant et tu le gardais tout contre toi, venant mordiller son cou pour y laisser une marque. tes doigts glissaient sur ses fesses que tu caressais doucement et tu lui souriais en revenant l’embrasser doucement plusieurs fois, silencieusement. tu te sentais si bien. je veux te sentir. tu murmurais tout bas contre ses lèvres en venant les mordiller doucement en caressant sa joue d’une main, et le bas de son dos de l’autre.

tu ne pensais pas que tout ça te tomberait un jour dessus. l'amour souvent parfois idéalisé, de tes potes qui te soufflaient combien c'est beau que d'être avec quelqu'un. t'y croyais pas vraiment, tu vagabondais un peu, de gauche à droite, de droite à gauche, une fille ou un mec pas trop dégueu et une nuit oubliée quelques heures plus tard. parce que ça n'a jamais vraiment compté. et puis t'es retombé sur nina à cette soirée d'anniversaire d'un pote et merde, t'as plus envie de la quitter. c'est beau, ça éclate ton cœur de la meilleure des manières et ça te procure cette douce sensation d'euphorie et de bien-être quotidien. c'est grisant parfois, de voir comment une seule personne a tout bousculer. je t'aime tellement. tu souris doucement et tu viens lui voler un petit baiser avant de la laisser glisser ses lèvres contre ton menton. tu ris un peu. ça doit être très doux. tu souffles doucement. tu viens frotter distraitement une de tes joues du bout des doigts. tu fermes les yeux quelques instants quand elle glisse ses mains contre tes fesses. je veux te sentir. mm tu rouvres les yeux et tu viens embrasser son front en riant un peu. ah ouai ? tu demandes, taquin, en venant la serrer un peu plus contre toi, poussant doucement ton bassin contre le sien en soupirant un peu de bien-être. tu n'aimes que trop ce genre de matinées.