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nous sommes de ceux. – (timéo)

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MessageSujet: nous sommes de ceux. – (timéo) nous sommes de ceux. – (timéo) EmptyMer 20 Sep - 19:40

timéo & suzy
Encore une fois c'est partie en vrille, encore une fois; ça à fini par dégénérer. T'es une pacifiste à la base, tu n'aimes pas la violence; tu préfères quand ça demeure dans le calme, mais que le message passe. Sauf que là, hier soir; la tension était trop forte et ça c'est terminé en explosion. Tu t'es fait emporter par la vague, la violence qui sommeillait en toi, elle est sortie à son tour sans que tu puisses la retenir. tu t'es fait chopper par la police; tu l'as vue dans le regard du flic, son exaspération, parce que ouais c'est pas la première fois que tu te fais chopper dans ce type d'événement. tu ripostes pas trop, juste assez pour montrer ton désaccord, même si tu sais que ça ne changera rien à la situation. tu arrives au commissariat et on t'explique le fonctionnement, fonctionnement que tu connais par coeur à force d'y être. d'ailleurs, le flic qui t'amènes à la cellule; tu le connais bien maintenant. il t'adresse un sourire amusé par la situation. tu gardes ton regard clair vers l'avant, t'entres dans la cellule et tu lances d'un ton sarcastique; « vous avez refait la peinture?» tes yeux se perdent un moment dans ce petit environnement et le flic referme la grille. une autre nuit à dormir sur ce matelas mince et probablement crasseux. sincèrement tu t'en fous, tu ne regrettes pas tes agissements. ce que tu appréhendes c'est le lendemain; quand tu devras appeler quelqu'un pour passer te chercher. tu sais que tu as le droit à minimum deux appels, du coup tu dois choisir la bonne personne. les heures s'écoulent et finalement, tu as l'impression de ne pas avoir fermé l'oeil. le même flic que la veille vient t'ouvrir la grille et te pose la fameuse question; « t'as quelqu'un a appelé? tu as le droit à deux appels..» tu te rends au fameux téléphone et t'hésites, mais tu tentes quand même ton premier appel. aucune réponse, tu sers les dents; t'espérais tellement qu'il répond, tu savais qu'avec lui, aucune leçon de moral. tu passes le second appel, t'entends sa voix au bout du fil. tu ne passes pas, par quatre chemins et tu y vas directement; « tu peux passer me chercher, je suis au commissariat.» tu sais qu'il va venir, tu sais aussi qu'il risque de te faire la morale; tu es déjà préparée psychologiquement. sincèrement, t'es pas dans un état pour te prendre la tête actuellement, tu as à peine dormi et tu n'as pas envie qu'on te fasse chier, mais tu sais qu'avec timéo ça risque d'arriver. 
"Nous sommes de ceux qui n'renoncent pas
Des chiens enragés, des teigneux, des acharnés.
Nous sommes de ceux qui établissent des stratégies dans l'obscurité.
Pour reprendre la main, jouer selon leur propres règles et forcer le destin.
(@nous sommes de ceux; fauve // beerus)
nous sommes de ceux
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MessageSujet: Re: nous sommes de ceux. – (timéo) nous sommes de ceux. – (timéo) EmptyVen 22 Sep - 17:31

le cul sur le canapé de son appartement, les voisins qui braillent de l'autre côté du mur derrière lui. il écoute, d'une oreille distraite. parce que ça devient bruit d'fond. bordel habituel. comme une mélodie qui repasse en boucle.
le cul sur le canapé, la fumée qui plane au-dessus d'sa tête. cigarette sur cigarette. quelques joins y passent aussi. juste comme ça. parce qu'il fallait terminer l'putain de pochon qui traînait là. sur la table du salon. les idées en vrac. il redescend doucement du dernier joins qui est passé entre ses lèvres. ça devait être y'a deux heures. ou un truc comme ça. il sait pas. il a pas regardé l'heure. pas vu l'heure passé alors qu'son regard n'a pas bougé de l'écran de sa télévision. un truc bien merdique. sans aucun sens. il comprend une parole sur deux. pas assez concentré dessus. pendant un temps, tim, il s'est dit que c'était une chaine étrangère. avant d'se taper une barre en voyant qu'c'était tf1. timéo il a pas bougé de son canapé de l'après-midi. pas l'envie. pas l'courage. il est bien là. pourtant, il a fait beau dehors, mais tim, il a vu les arbres bouger, alors il s'est dit qu'il devait faire froid. trop d'vent qu'il a dit.
casquette vissée sur la tête. on sait pas trop pourquoi. cacher les quelques cheveux blanc, sûrement. parce qu'il vieillit tim. physiquement. grisonnance qui arrive progressivement. rides pourtant encore loin. sauf celles au coin d'ses yeux quand il s'marre.
pas envie d'être dérangé. le téléphone à l'autre bout du canapé. le regard qui ne s'y porte pas. si on veut l'joindre, faudra essayer plusieurs fois. mais les heures passent. les minutes qui s'ressemblent. les yeux plissés face à l'écran. la main qui s'passe sur sa barbe de quelques jours. et l'envie d'savoir l'heure. corps qui s'étend de tout son long sur le canapé et ses doigts attrapent enfin le mobile. il est pas si tard qu'ça. mais suffisamment pour qu'il soit l'heure de bouffer. ce qui explique les grondements de son estomac. l'homme, il va pour reposer le portable. passer à autre chose. mais il sonne le con. fait sursauter l'homme. il s'attendait pas à ça. numéro inconnu. mais l'courage le fait décrocher. et un sourire étire de suite ses lèvres en entendant la voix d'une de ses potes. suzy. il la reconnaîtrait entre milles, sans aucun souci. et la gamine, elle lui demande juste de passer la chercher au commissariat. ça l'fait marrer lui, de l'imaginer encore une fois le cul dans une cellule. surtout qu'il est quasiment certain de ce qui l'a fait arriver là-bas. elle et sa grande gueule. elle et la défense de ses causes. tu devrais passer une nuit là-bas, ça t'ferais du bien j'pense. l'homme, il laisse un petit silence. histoire de lui faire croire qu'il pourrait s'arrêter là. la laisser là-bas, pour la nuit. j'arrive p'tite conne. timéo, il s'lève. sort. sans même éteindre la télé. ou les lumières. c'est versailles à l'appartement. toutes les lumières encore allumées. mais il s'en tape. y'a pas pour long à aller la chercher. tim, il saute dans sa voiture. et en un rien de temps, il s'pointe au commissariat. des têtes connues. d'autres un peu moins. un sourire au bord des lèvres. parce que la moitié des flics qui bossent ici ont déjà essayé de l'arrêter pour possession de stupéfiants. et là, il s'pointe dans leur qg, dans la gueule du loup. l'homme, il s'pointe face à l'un d'eux, simplement séparés par un comptoir. j'viens pour sortir l'cul de suz' d'ici. quasiment tout l'monde savait déjà pourquoi il était là. parce que quand elle s'retrouve ici, y'a pas des dizaines de personnes qu'elle appelle. choix restreint. alors il vient régulièrement tim, mais ça l'dérange pas. ça l'fait marrer de pouvoir lui faire des remarques après. lui balancer qu'elle lui en doit une. et ça pendant des semaines.
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MessageSujet: Re: nous sommes de ceux. – (timéo) nous sommes de ceux. – (timéo) EmptySam 23 Sep - 0:04

j'arrive p'tite conne. les dernières paroles qu'il te souffle dans le combiné du téléphone; tu raccroches et on t'amènes dans une petite salle, comme s'ils avaient peur que tu foutes  le bordel entre ces murs. il faut suivre la procédure, tu n'abdiques pas; pas rendue à cette étape là. t'attends, t'attends patiemment qu'il débarque et vienne te sauver comme la plupart du temps; héro des temps modernes? le temps passe et t'as l'impression qu'il fait exprès pour se faire attendre celui-là. finalement, tu vois la tête d'un des flics qui ouvre la porte de la dites salle où tu te trouves et s'adresse à toi; « t'as de la visite faure.» enfin, tu ne traînes pas, tu suis le flic, jusqu'à la réception et c'est là que tu l'aperçois. t'as ce petit sourire en coin qui se dessine malgré toi, malgré le fait que tu saches qu'il risque de te faire un tas de remarques, tu ne peux pas t'empêcher de trouver la situation amusante à chaque fois. « avant de partir, tu as des papiers à signer.» qu'il t'indique le me en uniforme, tu acquiesces après avoir lâcher du regard timéo.  tu t'avances au comptoir alors qu'on te remet les documents à signer; documents qui te sont familier aussi d'ailleurs. alors que t'es penché sur les documents, tu sens le regard foncé de ton pote sur toi; ça t'arraches un sourire discret à nouveau et tu vins à relever le regard lorsque tu as apposée ta dernière signature, puis tu te tournes vers lui en disant; « retire ce sourire de con, de ta sale gueule, sinon, j'demande à l'agent dupré de te garder un peu.» directe, franche, ça toujours été comme ça entre vous deux. tu lances un regard à l'agent dupré, qui demeure de marbre dans l'exigence de ses fonctions; tu repousses doucement les documents et tu fais un pas, deux pas de reculons et tu déclares en les saluant d'un signe un peu désinvolte; « à bientôt les gars.»

parce que tu n'es pas dupe, tu sais que tu risques de les revoir; c'est comme ça. puis tu tournes définitivement les talons prenant le chemin de la sortie. lorsque tu sors du commissariat, tu laisses le silence s'installer; mais tu ne le laisses pas durer sachant que timéo allait le combler avec ses paroles moralisatrices comme à chaque fois. « allez vas-y, je sais que tu en crèves d'envie.» tu lui lances un regard de biais, l'expression faciale assez neutre, sachant pertinemment que tu risques de répliquer et l'empêcher de continuer de parler. toi, suzy faure, tu n'as pas l'habitude de te fermer la gueule quand on t'attaque; tu répliques, tu parais d'une grande douceur et tu la possèdes aussi cette douceur; mais, tu ne te laisses jamais marcher sur les pieds. cependant, tu l'empêches de commencer son monologue en disant; « tu as de la bouffe dans ton frigo, j'ai faim..» légère moue, tu es parfois exaspérante et tu t'assumes complètement. « tu peux pas refuser, surtout si je fais mes pancakes.» ouais, t'as faim et tu veux aussi te faire pardonner pour l'avoir dérangé dans sa routine matinale. tu souris et t'essaies de faire tes beaux yeux; t'es complètement ridicule et tu fais exprès de l'être aussi. ça t'arraches un rire, rire cristallin quand tu le vois rouler des yeux comme à l'habitude.  
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MessageSujet: Re: nous sommes de ceux. – (timéo) nous sommes de ceux. – (timéo) EmptySam 23 Sep - 14:31

ça l'fait marrer timéo. la situation le fait marrer. devoir venir chercher suzy une énième fois au commissariat. se pavaner sous le nez des agents alors qu'ils n'ont rien pour l'arrêter. un sourire au bord des lèvres comme pour leur dire qu'ils ne peuvent rien faire. sauf qu'il ne dit rien. pas encore suicidaire. pas l'envie de se retrouver en cellule pour la nuit alors qu'il vient en tirer l'une de ses potes. ça l'fait marrer d'imaginer ce que pense les agents. drôle de bande de potes. pas un pour relever l'autre. si seulement ils savaient ouais. parce qu'au final, ils sont tous là pour se relever les uns, les autres. mais pour s'enfoncer un peu plus dans la connerie aussi. autant ne pas faire les choses à moitié d'toute façon.
tim, il attend. attend que l'agent lui ramène suzy. il traîne pas. comme d'habitude, elle doit attendre dans la salle juste derrière. et il regrette tim. il regrette de ne pas avoir pris son temps. de ne pas l'avoir laissé pendant une petite heure dans cette foutue salle. seule avec elle-même. enfermée entre ces quatre murs. sauf qu'il a accouru tim. comme toujours. parce qu'à sa place, il n'aurait pas aimé rester bien longtemps là. ça l'aurait vite gonflé. tim, il connait les cellules de ce commissariat en plus. c'pas le grand luxe. c'est jamais le grand luxe. le banc qui trône dans la cellule qui donne mal au cul au bout de quelques minutes seulement. le sol suffisamment sale pour dissuader de s'y installer. il peut pas s'attarder sur ces pensées. parce que l'agent revient. avec dans ses pattes suzy. suzy qui sourit en le voyant. sourire en coin qui étire ses lèvres. et tim, il peut pas s'empêcher de le lui retourner. la gamine, on lui demande de compléter des papiers. ça lui prend pas longtemps à suzy. c'est bien, t'as plus besoin de lire ce que y'a écrit sur les papiers, tu sais déjà quoi noter. et ça l'fait marrer timéo. surtout que peu de temps après, la gamine, elle l'observe. en lui disant de cesser de sourire. menace qui flotte dans les airs. j'suis persuadé que ma compagnie serait bien meilleure que la tienne en plus. mais monsieur l'agent a l'air trop fatigué pour réussir à me supporter. dommage. une prochaine fois peut-être. il s'attarde pas plus sur le sujet. les deux amis qui sortent du commissariat. suzy saluant ses nouveaux amis. ce n'est qu'au au revoir. certainement pas un adieux. elle reviendra la gamine. tôt ou tard. et ils ont a peine le temps de faire quelques pas dehors que suzy, elle rompt le silence. devançant de quelques secondes timéo. elle le connait bien. elle le connait trop bien. tu devrais songer à demander si y'a pas des cartes de fidélité. t'aurais peut-être des cadeaux à force de venir. il s'fout de sa gueule. clairement. mais il enchaîne. rapidement. t'aimes te retrouver en cellule en fait, c'est ça ? ou c'est les menottes que t'aimes ? non parce que si c'est les menottes, j'peux t'trouver une paire sans souci hein. il l'observe. un sourire venant étirer ses lèvres alors que ses bras viennent se croiser contre son torse. ses pieds le guidant tranquillement vers sa voiture. la prochaine fois que tu comptes t'faire de nouveaux potes dans un commissariat, préviens moi, j'm'organiserai pour n'rien faire de la soirée et juste attendre. tim, il faisait rien ce soir. mais même s'il faisait quelque chose. un truc important. un truc amusant. il se serait tiré pour venir la sortir de là. même si elle en aurait sûrement entendu parler pendant des mois. il se glisse dans sa voiture. mettant sa ceinture. mon frigo n'est jamais vide. c'est une règle d'or. et t'es obligée d'me faire des pancakes de toute manière. faut bien te faire pardonner. une fois la gamine installée, il traîne pas tim, il met le contact et s'éloigne. n'ayant pas franchement l'envie de rester un peu plus longtemps devant le commissariat. pas avec diverses conneries dans la voiture qui pourrait lui causer pas mal d'emmerdes.
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